La forme du pupitre des percussions connait aussi une évolution notable. Lors des années 1950, les groupes utilisent fréquemment des ensembles hétéroclites de caisses claires de jazz ou des caisses roulantes de fanfares. Par les mêmes réseaux que les grandes cornemuses sont importées en Bretagne, des caisses claires écossaises sont adoptées par les groupes bretons dès les années 1950, et s’imposent comme standard.  En 2017 l’association Sonerion impose l’usage d’un minimum de deux caisses claires, d’un ténor, et d’une basse. Les percussions supplémentaires sont autorisées, mais limitées en nombre. L’usage de rototoms, de cloches tubulaires ou de gong est parfois relevé lors des concours.

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